Moi, j'ai jamais bu, jamais fumé et jamais couché. Ca fait le même effet que quand on dit que Jésus a marché sur l'eau, tiens.

date, lieu de naissance - 1er Janvier; Oxford. age et année - 17 ans, 7ème année. Le bout du tunnel ! pureté du sang - sang pur maison souhaité - Serpentard niveau scolaire - Correcte. origine social - aisée prédéfinis , scénario - non.

(c) Isabellecs

pseudo et/ou prénom - Lidya age - 16 ans comment avez vous découvert le forum - Sur AE qu'en pensez vous ? - Great ! fréquence de connexion - 6/7 depuis quand pratiquez vous le rp - Longtemps, mais j'ai des périodes d'arrêts. avatar - Gemmma Arterton un dernier mot - Je suis totalement amoureuse du contexte, du design et .. de tout, en fait !

Objectivement je suis
Concrétement, on peut dire du physique de Max' qu'elle est belle, très belle. Elle le sait et en joue longuement. Au sens propre comme au figuré. Lorsque les passants se retournent sur elle,elle ne prend plus la peine de faire semblant de s'intéressée à la gente masculine qui la reluque si longuement, un sourire en coin. Mais si l'on veut absolument entré dans les détails, on peut toujours dire que ce qui la rend belle sont ses jambes si longues qui font tourner la tête, sa poitrine généreuse, sa bouille de gamine angélique avec ses pommettes rosées et ses yeux envoûtant. Le tout étant le parfait portrait de sa grand-mère lorsqu'elle était à Poudlard, chez les Porter, la beauté saute une génération, dit-on. Et en y regardant de près, on peut effectivement remarquer que son père, Porter pur, ne fera jamais la couverture d'un grand magazine. Sa mère, elle, est assez jolie, mais pas de quoi éclipser ses filles, dont elle est fière. La conclusion que l'on pourrait en tiré est donc que Max est une fille bien, généreuse et tout le tralala. Bah là, vous l'avez dans le ***. *politesse oblige, on censure* D'ailleurs, elle en est tout le contraire. Son mot d'ordre ? La manipulation, c'est sa qualité numéro un. Le chantage et le mensonges font aussi partis de ses atouts, on n'obtient rien sans rien, et ce n'est pas rare que la belle soit en possession de quelques informations essentielles pour ce chantage actif. Ses relations jouent beaucoup également sur ces informations qu'elle obtient. Son comportement d'enfant choyée a eu raison de ce qu'elle est, tout ce qu'elle veut, elle l'obtient. La loi du plus fort s'applique à elle, la simple pensée qu'elle puisse être faible la répugne, ce qui lui donne une raison de plus pour bannir beaucoup de sentiments de son vocabulaire, tel ... l'amour, "l'amitié" étant sa plus belle arme, car sans alliés, on n'est rien dans cette bataille. La compassion ? Elle la surpasse. La douceur ? Elle l'écrase. Sauf en présence de sa petite sœur, qui a beau ne pas être dans son camp, elle se rappelle que c'est elle qui l'a forgé et bien qu'elle s'accable du fait d'en avoir fait une résistante, ne peut s'empêcher de la choyer.
Ses limites ? Comme toute ado qui se respecte, elle en a peu. Boire, fumer font parti de ses occupations, lorsque les journées s'étirent trop ou que la solitude se fait sentir, même si cette deuxième option est très rare. Faisant parti des pro-mangemorts (enfin, de l'enclave, actuellement), ses limites sont de plus en plus éloignés du droit chemin. D'ailleurs, c'est à peine si elle sait ce qu'il en est, de ce droit chemin. "C'est une sorte de chemin de traverse ?". Ouais, ok, vous avez compris. Dans tout ce qu'elle entreprend, son optimisme est apprécié, sa sureté en soit l'est également, dans tout ce qu'elle entreprend, tout ce mélange de ce qu'elle appelle "ses plus belles qualités" lui donne une maîtrise totale de la situation.
Belle et rebelle ? Plutôt belle et cruelle, ici et maintenant.


Et ça, c'est ma vie

Je tiens entre mes mains mon premier journal, offert pour mes dix ans par mes parents. Je l'ai eu en janvier, mais ne décide qu'à le commencer maintenant. En fait, je déteste écrire, mais j'ai mes raisons de me confier dans ces foutues feuilles de papier coupantes. Quoi qu'à vrai dire, j'ai pas tellement de choses à dire. Hormis mon impatience à rentrer à Poudlard, je suis excitée à l'idée d'être dans la maison de mes ancêtres et de suivre les cours de métamorphose. J'ai une certaine passion pour cette matière, j'ai dévoré des tonnes et des tonnes de livres sur ça, j'en suis accro, mais c'est véritablement la honte de le dire. Mes parents auraient préféré que je sois fascinée par la potion ou encore la botanie, ça m'aurait servie à faire de nombreux poisons, mais je ne peux pas m'y convaincre. Je ne me vois pas en faire mon métier, dans l'avenir, quoi qu'en y réfléchissant ça pourrait se faire. Le flou m'embrume encore, pour le moment. J'ai dix ans, je ne veux pas y penser. Mais je suis sûre que la métamorphose peut être bien plus importante que ces foutues potions, non ? Quoi qu'il en soit, ça ne change rien à ma détermination d'en connaître plus sur ce que certain appellent "le côté noir de nôtre monde". Les mangemorts, ma famille.
Les Porter ont toujours été de ce côté, ce que nous appelons le "bon côté", chacun son point de vue, je suis la prochaine sur la liste à rejoindre ce côté là. Ma sœur, après moi, le sera. C'est en quelque sorte l'héritage de ce que nous sommes, un héritage en or. Je suis fière de faire partie de cet espoir là, celui d'un monde meilleur, sans sang-mêlé ni moldus pour nous stopper. Mon éducation m'a toujours apprise à me dire que je faisais partie de la meilleure race qu'il puisse exister. Imaginez une chaîne alimentaire ou les mangemorts seraient tout en haut, indétrônable. C'est le schéma que je connais. Nous sommes invincibles et indéniablement puissants. Nous influençons le monde et le modelons à notre propre manière. Oublier, les anciens "héros" du peuple, celui qui s'interposera, nous le détruirons.
Je parle déjà à la première personne du pluriel, mais j'y suis déjà, une recrue implacable et totalement dévouée qui n'en oublie pas sa liberté. Je saurais faire la part des choses, entre devoirs et plaisirs, même si les deux sont combinés.
Pour finir en beauté, bien à toi, cher journal. C'est comme ça qu'on fini, habituellement.

MAXINE P."

Pourriture, déjection de la nature ! J'ai quasiment élevée cette gamine et tout ce qu'elle trouve à faire, c'est aller chez les Gryffondor ! Ha ! Il est beau, le pacte de sororité qu'on avait fait ! Quand je pense que pour des raisons professionnelles, mes parents m'ont laissé l'éduquer à ma manière, me sachant habile à la manipulation de pensées ! Finalement, Berry va se retrouver éloignée de nous, elle l'aura chercher ! Quoi que ... c'est pas tellement de sa faute, faut l'avouer. Les parents m'ont raconté qu'une fois, l'un de nos ancêtres était tombé à Serdaigle, étant un vrai féru d'études et de connaissances. Enfin surtout de connaissances. Il avait été traqué par sa famille, frères et sœurs et parents compris, faisant honte aux Porter. S'il n'avait pas été aussi rusé et n'avait pas eu tant de vrais amis sur qui il avait su compter, il aurait été tué sur le champ. Mes parents sont trop attachés à leur progéniture pour faire ce genre de chose, même si l'envie les démangent. Moi de même. Cette gamine a un bon fond, il en faut bien en ce monde. Et puis l'ordre des choses fera le reste, si elle rejoint l'enclave et les mangemorts, tant mieux. Sinon ... La chaîne alimentaire la bouffera, et dans ce cas cas là, je ne pourrais que la regarder supplier.
Lorsque le choixpeau a touché son crâne et hurler "GRYFFONDOR !", j'ai lu la surprise et la joie se peindre sur son visage. Je m'y revoyais. Je me souviens de la fierté que j'avais de suivre les traces de mes ancêtres. Je ne ressentais aucune honte face à ceux qui faisaient partis de la résistance, ceux qui me méprisaient déjà de faire partie d'une famille que je n'avais pas choisie mais de qui j'étais tellement fière. Jamais je ne pourrais douter de notre tâche, chez les mangemorts, ou l'enclave. Ah, l'enclave ... Être entouré de sang-pur, que c'est agréable, ne pas se dire qu'en l'instant présent, les sorciers son déshonorés par quelques sang-mêlé ou pire, sang de bourbe. Je suis à deux-cent pour cent dans l'action, et si certain ont l'impression de se sacrifier en y étant, moi pas. C'est comme de dire à tout le château "Hé bande de ringards, vous êtes les perdants, nous sommes les gagnants. Vous avez choisi le mauvais camp, point. Venez pas vous mettre à genoux et pleurer, c'est ainsi, vous aviez choisi, nous l'avons maintenant.". C'est presque jouissif de savoir que nous avons un certain pouvoir sur eux. La loi du plus fort existe encore et toujours, nous sommes les plus forts, un point c'est tout.
Bien à toi cher journal.

MAXINE P."