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« don't believe in anything, because there is no hope. » O'MAAV.

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Lun 16 Aoû - 22:47

Présentation de PATAGONLAITH O'MAAV

    date, lieu de naissance - un treize janvier, irlande.
    age et année - 16 ans, 6e année.
    pureté du sang - pur.
    maison souhaité - qu'importe la maison, la force de la tempête en sera semblable, qu'importe d'où elle peut venir.
    niveau scolaire - excellent.
    origine social - pauvre.
    prédéfinis , scénario - oui.non[
      « don't believe in anything, because there is no hope. » O'MAAV. 1624lkp
      (c) livejournal

      pseudo et/ou prénom - magictime.
      age - 18 ans.
      comment avez vous découvert le forum - pub.
      quand pensez vous ? - I love you
      fréquence de connexion - aussi fréquente que possible.
      depuis quand pratiquez vous le rp - bientôt cinq ans.
      avatar - jeisa chiminazzo.
      un dernier mot - love.


    Et ça, c'est ma vie

    ça n'a jamais été simple, vous savez. de vivre entre deux pays, entre deux nations. ma famille vit sur l'irlande, alors que mon frère ainé et moi sommes en études ici, en angleterre. ma famille, donc. la mère, Drawn Evan, sorcière irlandaise de bonne famille, pas réellement sang-pure, car possédant des arrières grands-parents paternels moldus. reniée par la famille lorsqu'elle épousa le père. lui, Gressen o'Maav, sang-pur, voyou, bandit, escroc, époux violent et infidèle. très attaché aux principes.
    je les ai haïs dès les premiers jours.

    vous savez, c'est très dur de savoir qu'on est un accident, que vos parents préfèrent leurs après-midis au pub, leurs cigarettes moldues, leur alcool et leur enfer, à vous. lorsque la pensée que, peut-être, vos parents ne vous aiment pas se fait un chemin dans votre esprit, c'est presque la fin de tout tant la douleur vous semble insoutenable. immédiatement, on a deux choix : on se complaît dans l'affaire et on utilise la même ruse qu'eux comme exutoire ; on sombre dans un gouffre sans fond et on finit par crever, en se croyant seul et détesté. je sais, un brin mélo-dramatique, peut-être.
    l'idée de n'être qu'une poupée de chiffon, un objet d'exposition pour mes parents, m'a envahie à l'âge de huit ans. avant, je pensais que les expositions dans la rue, en faisant la manche, et les cris constants constituaient une vie normale, même si, lorsque j'en parlais à mes rares amis, certains ne se gênaient pas pour qualifier ma famille de ' bizarre '. ce n'est que le jour où j'entendis une conversation entre mes parents et leurs amis que je pris pleinement conscience de ma position d'objet. je fus qualifiée, non pas par mon prénom, mais par quelques mots tels ' parasite ' , ' obstacle ' , ' elle ' , ' l'autre ', ... et je compris alors que je n'étais rien pour eux, pas même un bon héritier, bon à flirter auprès d'une jeune héritière sorcière qui les auraient aidés à s'engraisser et à sortir de leurs misérables existences, puisque dieu m'avait dotée d'attributs féminins, pas même quelqu'un de voulu. cette nuit-là, mes premiers pouvoirs se sont manifestés : un couteau de cuisine frôla de peu le visage figé et affreux de ma mère.

    dès lors, ma vie est devenue un enfer notoire. j'ai refusée de manger et d'aller à l'école, cette petite école moldue du coin, parce qu'on avait pas les moyens d'aller ' à cette satanée de putain d'école de bourges ', la seule de la région, ouverte aux sorciers. je passais mon temps à pleurer, à réclamer ne serait-ce qu'une once d'affection. mais, personne ne bougea. ce doit être ça, l'univers des familles de sang-pur : tu pleures, tu crèves de l'intérieur, mais tout le monde s'en fout. on n'avait peut-être pas d'argent, mais, que sais-je, le protocole doit rester le même qu'on soit riche ou pauvre. après, c'est autre chose. est-ce ça, l'existence rosée et idéale décrite par les petits sangs-mêlés jaloux ? qu'ils aillent tous se faire foutre.
    ma mère a finie par se récolter une tumeur au cerveau, quelque chose de moldu, et mon père se mit à haïr ces êtres qu'il appela ' inférieurs ' avec plus de vigueur. il devint plus violent, plus extrémiste. ces gens qu'il avait côtoyés dans les bars, dans les bordels, dans chaque petit escroquerie ... il se mit à les haïr, à leur cracher au visage sans raison, comme ça, parce que c'était ' comme ça qu'on devait se comporter avec les êtres inférieurs '. il continua à boire. il me fit peur. il me fait peur.
    elle est morte alors que j'avais dix ans. mes pouvoirs venaient d'être officialisés, et j'attendais avec impatience l'émotion qui devait envahir tous les yeux des parents sorciers à cette annonce. mon père rentra, livide, et me dit, sans aucune once de la fierté attendue, que je devenais enfin quelqu'un de potentiellement utilisable. je ne vis même pas ma mère, avant sa mort. elle ne me réclama pas à son chevet. je ne m'en suis jamais plainte. j'appris, deux mois plus tard, qu'elle avait eut une aventure avec les deux meilleurs amis de mon père, avant sa mort, et qu'elle avait placée l'argent qu'ils lui avaient donné sur mon propre compte en banque, sachant que mon père ne me laisserait sûrement rien une fois elle trépassée. au moins une bonne chose de faite.

    vous savez ce que c'est, vous, de se faire traiter d'objet toute sa vie ? savez-vous qui ont appellent ' objets ', dans ce monde, qui sont les personnes qu'on traite ainsi ? les prostituées, les esclaves, vous voyez quoi. suis-je si mauvaise, si horrible que cela pour être traitée ainsi ? il m'arrive de penser qu'il doit y avoir une raison, qu'en effet, je ne suis rien qu'une poupée de chiffon. ça aurait été tellement simple.
    ma vie a changée lorsque mon père m'a présentée sa nouvelle conquéte, Lorrèni Hesvren, et son fils de treize ans, Charles. ils se sont mariés trois jours après mes dix ans. mon père a arrêté de boire et l'ambiance s'est un peu réchauffée dans la petite maison, ma belle-mère, bien que sang-pure, étant particulièrement douce et protectrice - et surtout bien plus riche que ma défunte mère - et mon nouveau frère possédait une énergie et un sens de la sociabilité inégalables. Charles parla longtemps pour moi, passa par de longs moments de conversations en solitaire, alors que je ne l'écoutais que d'une oreille, préférant penser qu'un jour, lui aussi, il se lasserait de parler à un objet. mais, il ne s'est jamais arrêté. jamais. et, un jour, j'ai éclatée en sanglots dans ses bras. ça a été comme faire un pas vers la lumière.

    je suis allée deux ans dans cette école d'irlande, puis, ma belle-mère, elle aussi, est morte. Charles se tut à son tour, et me regarda étrangement, un long moment. je su immédiatement qu'il pensait que j'étais coupable. peut-être l'étais-je vraiment. après tout, ma mère était morte, elle aussi. mon père recommença à boire et se mit à frapper, mentalement et physiquement. Charles ne me protégeait plus. ce fut l'obscurité, à nouveau.
    j'ai eut douze ans et j'ai peu à peu commencée à sombrer. c'est déjà grave quand on commence à se faire traiter de parasite et d'objet, de tueur. ça l'est d'autant plus quand on commence à y croire. j'encaissais et écoutais avec un flegme qui enragea mon père plus d'une fois. ce n'était pas par indifférence, ni par jeu, car l'hostilité ne laisse jamais personne impassible, c'était juste une façade. tout n'a été alors que jeux de façades et de masques. des masques que j'ai portés, jetés, dont j'ai usés. je suis tout le monde, comme je ne suis personne. je suis un tout. je ne suis rien.
    mutilation, boisson, prostitution, auto-destruction ? nous n'en sommes pas à ce point, mes chers. peut-être les coups et les rejets m'ont rendus un peu fêlée mais, je vous en prie, pas à ce point. mais, continuons.

    à treize ans, alors que je reposais sur les toits de l'école, un élève de dernière année me dit ceci : « le monde est un bel endroit qui vaut la peine qu’on se batte pour lui. ». ernest hemingway. il m'a tendu ma première cigarette, m'a dit qu'en grandissant, ça s'arrangeait, et m'a offrit le sourire. je n'avais pas réellement compris cette phrase. je commence à peine à l'assimiler.
    mon père m'offrit la possibilité d'un voyage, l'héritage empoché et, surtout, la claire envie de se débarrasser de moi au plus vite. je choisis l'angleterre. Charles, contre toute attente, m'accompagna. nous nous parlions à peine, en ce temps là, mais la promiscuité changea le tout. ah oui ! n'ai-je pas oublié de dire que Charles est un sorcier, que c'est un réel sociopathe et qu'il n'a pour but premier que de s'imaginer comme futur ministre de la magie ? c'est de ce voyage que nous ait venu la volonté de rester en angleterre. mon frère avait la majorité. rien de plus simple.
    je fut scolarisée à l'école poudlard. oui, célébre école poudlard. on me regarda longtemps avec un clair étonnement, sûrement du à ce masque impassible que je garde près de mon cœur. je n'ai jamais vraiment aimée poudlard. du moins, je n'y aime pas les gens. j'ai vécu dans le monde moldu, dans la haine de l'angleterre et de sa prétendue ' colonisation '. chez moi, l'irlande est souveraine et leur reine n'est qu'une mégère acariâtre dont tous dénis l'autorité. les anglais sont étranges, leur nourriture aussi. ils sont flegmatiques, coléreux. nous autres, nous sommes rêveurs et manipulateurs. les anglais sont des gryffondors. nous sommes des serpentard. ils sont pourtant à moins de cent kilomètres de nous. qui suis-je, alors ?

    j'ai alors commencée à agir comme un jour ma mère agissait. j'étais belle, dieu, je le suis, et j'ai très vite apprit à en jouer. j'ai découvert qu'un sourire ou qu'un bon décolleté pouvait ouvrir toutes les portes, mêmes les plus résistantes. l'argent, les vêtements, les voyages, les voitures, les accessoires ... je n'avais besoin que d'un sourire, un mot. le pouvoir, le contrôle, jouer avec les gens, les utiliser puis les jeter. j'ai parfois l'atroce sensation d'être devenue une copie miniature de la catin et de l'escroc. parfois, cette pensée, ces habits provocants, ce rouge à lèvres violent, parfois tout cela me donne la nausée.

    à quatorze ans, Charles a commencé à me faire la cour. pacifiquement, renonçant quand je lui disais que je n'étais pas de ce ' genre ' là. puis, plus violemment. au final, à coups de violence et de mots abjectes, il a finit par me faire céder.
    ouais, je sais, c'est immonde.
    vous voyez, je pense que les hommes ne sont ni tout blanc, ni tout noir. suis-je une blanche colombe moi qui me prélasse dans l'auto-destruction, le déni de soi-même, l'inceste juridique - la loi irlandaise doit suffoquer d'indignation -, et d'autres mets tout aussi délicieux ? mon frère est-il bon, lui qui manipule et blesse comme il respire, lui qui n'hésite pas à saler la plaie, lui qui aime détruire tout ce qu'il touche ?
    ah, la vie est moche, n'est-ce pas ?

    quinze ans. je parle peu, travaille normalement, suis intelligente, sérieuse, et l'on me voit assez souvent à la bibliothèque. je suis félicitée. mais, on ne peut jamais être parfait, aux yeux des gens, c'est bien connu. je suis donc asociale, je ne m'attache pas aux gens, je suis cynique, lunatique, ' je-m'en-foutiste ' et l'alarme est tirée quand le professeur de runes repère que j'ai une tendance profonde pour le macabre et l'horreur, lorsqu'il s'aperçoit que je griffonne des scènes très peu catholiques sur mes parchemins de cours. mon père, est contacté et on demande à ce que je passe devant un psychomage. mon frère, dans son grande bonté - et son emprise serpentesque - m'en dispensa. mais, lorsque je du retourner en irlande pour des vacances, ma ' folie ' passa pour une atteinte à la réputation de la famille.
    « nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n’a pas été qu’un rêve. ». hum. je veux bien le croire.

    j'ai aujourd'hui dans les seize ans. je suis une sorcière de sang étrange, pur d'un côté, mêlé au troisième degré de l'autre. je suis étudiante dans une école de sorcellerie anglaise, où mes résultats sont assez bons. je suis irlandaise, et n'est comme point d'attache, ici, à londres, qu'un frère de cœur et de juridiction aussi fou que je le suis, mais d'une folie toute différente de la mienne. pour les affaires civiles, je suis patagonlaith o'maav. pour ma famille, je ne suis qu'une pute.


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Lun 16 Aoû - 22:54


    reste droite, la tête haute, l'air fier, le sourire enjôleur, le croisé de jambes parfait, la cravate nouée à la perfection, l'allure sans défauts, le visage marqué d'indifférence et de dédain, le corps magnifique, ferme et souple. souris, bordel, souris !
    avant, je me crachais dessus à chaque fois que je passais devant un miroir. aujourd'hui, mon physique est la seule chose que je ne hais pas, chez moi. je fais même tout pour l'avantager. en fait, mon corps est une partie étrangère de ma personne. elle est extra-terrestre, étrange, et ne convient en aucun point à mon état psychique. j'aurai dû naître défigurée, une véritable petite horreur sur pattes. ça aurait été tellement mieux, tellement moins problématique. le fait est que je hais les hommes quand ils n'ont rien à m'offrir. le fait est que mon cœur est aussi insensible et sec que la pierre. je ne peux m'attacher, je ne peux m'impliquer. être possessive, appartenir à quelque chose, à quelqu'un ... tout cela me dépasse.
    l'amour est une salope.

    beaucoup de personne me pensent superficielle, idiote, niaise, et toutes les bonnes choses qui s'en suivent. vois les fêlures de mon âme et comprend les. je ne leur offre que le sourire hautain et dédaigneux qu'ils attendent, alors que leurs piques sans âges se répercutent contre mes sens insensibles et rodés à la méchanceté. demain, ils découvriront une nouvelle rumeur assassine les concernant, venant d'une certaine personne, qu'ils connaissent tous. il y a deux ans, Mangda Gresst s'est jetée de la tour d'astronomie. semblerait qu'on ait dit qu'elle couchait avec son propre père. mea culpa. pas ma faute si les petites garces sont des faiblardes, par ici.
    le meilleur dans le jeu de la manipulation, c'est quand on fait croire aux autres des choses. les gens peuvent nous penser joyeux, sombre, drôle, stoïque, coincée, ouverte d'esprit, étrange, simple. c'est si drôle de jouer avec les esprits et d'aborder des masques de couleurs différentes, de textures étrangères. je mélange mensonges et vérités à ma guise et maîtrise le jeu. je dois être naturellement autoritaire, mythomane, manipulatrice, actrice et pessimiste.

    beaucoup de gens me posent souvent cette question : pourquoi ne donnes-tu jamais de qualités, pourquoi te rabaisses-tu toujours ? se jeter des qualités au visage est comme s'injecter une dose de superficialité dans le cœur. mon âme est naturelle, nue, mais mon corps, mon visage, est poudré et gommé chaque matin de tous défauts. je me qualifie de telles et telles choses devant les personnes qui me connaissent le moins. les autres savent que je suis un être paradoxal, maladroit, sans tact, empli d'un mal être et d'un manque de confiance vibrant et horrifiant. ils savent aussi que je hais les hommes, mais que j'aime être sollicitée et choyée. ils connaissent ma peur d'être abandonnée comme ma joie de vivre au milieu d'eux, aimée, réconfortée. ils ne voient pas que les seins, la bouche, ils voient l'âme craquelée, fissurée, étrange, dépassant derrière la façade de poudre et de rouge à lèvres.
    ils me voient. alors, regardez-moi.

    j'ai pour avenir les espoirs aliénés d'un père de sang-pur à l'égo démesuré. il aimerait tant que je sois puissante, forte, crainte. parfois je me demande s'il n'a pas comme projet de me faire devenir mage noir ou je ne sais quoi dans le genre. quel cinglé.
    mon but personnel, se serait la retranscription générale du mal être ambiant de l'espèce humaine. en bref, porter une caméra et raconter la vie des gens, de ceux que je hais du plus profond de mon âme. c'est un métier moldu qu'on nomme " réalisatrice ", mais que j'aime depuis ma plus tendre enfance. ma belle-mère avait cet amour pour les films moldus. elle m'a fait découvrir des merveilles de couleurs, d'images, d'histoires, qui ont fait pleurés, rire, danser mon cœur ankylosé et endurci. depuis, je rêve de faire la même chose, de donner vie à des contes, à des histoires étranges et sombres, de poser mon empreinte dans un monde de faux-semblants et d'images. dans un monde qui me ressemble.

    j'ai pour intime crainte ce qui suit : je le hais, mais jamais je ne pourrais me défaire de mon père. il me fait vomir, mais jamais je ne pourrais m'éloigner de Charles. je suis une junkie, une junkie à l'affection. voyez là, la petite fille pathétique qui se drogue aux sourires de ses amis, aux rires des uns, aux embrassades des autres. voyez comme elle ne vit que pour les bras des hommes, pour leurs mots d'amour, pour leur désir et leur affection. voyez comme elle joue avec eux pour son simple besoin inassouvi de tendresse.
    de même, les animaux me sont étrangers et le genre humain me dégoûte. de même, je hais la mer, ou thalassophobie chronique. je suis pathétique.
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Lun 16 Aoû - 23:06
Bienvenue ♥
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Mar 17 Aoû - 10:26
Bienvenue ! Ça c'est un nom ! « don't believe in anything, because there is no hope. » O'MAAV. 52415
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Mar 17 Aoû - 12:07

Merci beaucoup à vous deux « don't believe in anything, because there is no hope. » O'MAAV. 659761
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Mar 17 Aoû - 17:52
    Bienvenue ! :D
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Mar 17 Aoû - 22:27
WELCOMEUH
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Hypsoline
    GRYFFINDORsixième année
    ♠ fondatrice
Hypsoline
Hypsoline
ϟ avatar : Barbara Palvin
ϟ parchemins : 280
ϟ âge du sorcier : 29
ϟ Patronus : Un chat
Jeu 19 Aoû - 0:34
Je suis scotché par ta fiche OO"
Magnifique « don't believe in anything, because there is no hope. » O'MAAV. 52415

Paragonlaith est dur à répartir; cependant je la verrai bien chez les Pousouffle !

Bon jeu, pense à faire recenser ton avatar et à mettre des majuscules à tes phrases ! « don't believe in anything, because there is no hope. » O'MAAV. 803264
Hypsoline
https://nox-avis.forumactif.fr
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Jeu 19 Aoû - 17:46
    Oo' Je suis du même avis qu'Eloïse :O

    Magnifique. Bienvenue chez les jaunes =)
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